PSG Mercato : C’est terminé ! La vie de Christophe Galtier au PSG n’est plus totalement rose. Avec cinq étoiles scintillantes sur sa tunique, la Seleçao est la nation qui a remporté le plus de Coupe du Monde. 3. Ce guide distingue cinq grandes catégories de disparus : elles sont destinées à faciliter vos recherches. Les sources relatives aux assignés sont en grande partie les mêmes que celles concernant les disparus, à l’exception des archives des tribunaux : elles sont à rechercher dans les archives des services de police judiciaire ainsi que dans les archives des communes mixtes ou des sections administratives spécialisées sur le territoire desquelles se trouvait un camp d’internement ou de transit.
À l’exception des dossiers de procédures criminelles ou correctionnelles qui relèvent des tribunaux, toutes ces enquêtes ont été diversement documentées à tous les échelons de l’organisation territoriale administrative : communes mixtes, sections administratives spécialisées, services régionaux de police judiciaire, services des liaisons nord-africaines au sein des préfectures, cabinets civil et militaire du gouvernement général puis du ministre résidant en Algérie. Il en existe potentiellement d’autres : les recherches peuvent être élargies géographiquement sur le territoire français, au sein des services publics d’archives, dans les fonds des parquets, des services régionaux de police judiciaire, des cimetières en région parisienne. Ils peuvent être complétés par les archives de l’état-major interarmées en Algérie qui a réuni des dossiers sur les enlèvements et exactions commises par le FLN à l’encontre de Français de souche nord-africaine pour la période 1956-1963 (sous-série GR 1 H). Sont présentées ici les sources relatives aux Algériens disparus en Algérie, c’est-à-dire, selon les expressions figurant dans les documents, les « Français de souche nord-africaine » (FSNA), « Français nord-africains » ou « Français musulmans d’Algérie » (FMA), dont la disparition a été constatée sur le sol algérien.
2. Votre recherche sera facilitée si vous avez pu rassembler au préalable les éléments dont vous avez déjà connaissance, tels que le nom et le prénom de la personne, sa date de naissance et les circonstances, même approximatives, de sa disparition. Parmi toutes ces sources, les dossiers des services régionaux de police judiciaire (SRPJ) constituent des éléments de tout premier ordre ; leurs dossiers contiennent des documents circonstanciés tels que les rapports et procès-verbaux de police ou de gendarmerie. Il n’existe pas de liste nominative complète des disparus de la guerre d’Algérie ; l’administration de l’époque n’en a jamais produite et les éléments qui permettraient de le faire sont potentiellement dispersés entre plusieurs fonds et répartis entre plusieurs institutions de conservation. Les institutions qui ont produit ces archives, et qui se trouvaient à l’époque en France et en Algérie, sont localisées sur la carte interactive ci-dessous, avec des liens vers les inventaires décrivant leurs archives.Sont cités dans le guide les fonds identifiés comme contenant des informations sur les disparus.
Les noms qui figurent dans les archives peuvent comporter des erreurs ou des variantes pour une même personne ; c’est cette orthographe que l’on retrouve aussi dans les inventaires qui décrivent les archives. Découvrez tous les détails concernant ce sujet dans cette édition. La principale compétition entre sélections nationales organisée par l’UEFA est le Championnat d’Europe, dont la première édition se déroule entre 1958 et 1960. Il se tient tous les quatre ans, en alternance avec la Coupe du monde. Ce jour-là, selon les autorités sanitaires locales, pas moins de 98 supporteurs ont été pris en charge au cours du match, dont une quinquagénaire, elle aussi victime d’un infarctus lors des tirs au but. Elle aura néanmoins réussi à tenir cette position sur environ 3 ans. Cette hausse des admissions pour IDM se poursuivit durant les deux jours suivants.
De même, les femmes sont implicitement exclues du champ d’application de cette loi. Cette remarque concerne les noms des Algériens, pour lesquels il peut par ailleurs y avoir confusion entre nom et prénom, mais aussi les noms d’origine européenne. Cette catégorie ne concerne pas seulement des civils et des combattants du FLN, mais aussi des militaires (appelés du contingent ou engagés volontaires) ou des Harkis et autres supplétifs de l’armée française pour lesquels il conviendra de se reporter également aux entrées qui les concernent. Le présent guide sur les disparus de la guerre d’Algérie (1954-1962) s’inscrit dans le contexte de la déclaration du Président de la République du 13 septembre 2018 sur la mort de Maurice Audin, qui « vise notamment à encourager le travail historique sur tous les disparus de la guerre d’Algérie, français et algériens, civils et militaires ».